Nous y allons par la connaissance que :
-    De la même manière et au même degré que le cultivateur d’autant (traditionnel) était tributaire de posséder des terres et de la tombée des pluies, l’investisseur et producteur moderne, dans son esprit d’entrepreneuriat ou son incitation à entreprendre, comme dans sa réussite de son entreprise une fois qu’il s’y décide, est conditionné par l’Environnement et le Climat des Affaires dans le milieu où il opère.
-    Environnement et Climat des Affaires sont donc, depuis toujours, et de plus en plus, deux éléments desquels dépendent beaucoup, l’esprit d’entrepreneuriat ou l’incitation à entreprendre, et la réussite de l’entreprise.
-    Environnement et Climat des Affaires sont des parallèles, corolaires ou conséquences des mutations socioéconomiques, des exigences de ces dernières et de leurs vitesses.
Environnement et Climat des Affaires qui sont aujourd’hui :
•    d’abord la présence ou l’absence de démocratie, de bonne gouvernance, la présence ou absence et la  prévention ou non de conflits (de conflits armés notamment), en bref, présence ou absence de garanties de paix et de sécurité de la personne et des biens,
•    ensuite le niveau du marché et son importance,  l’importance de la demande ou de l’offre suivant qu’on y soit producteur, acheteur ou consommateur,  la saturation ou non (ou la difficulté ou non) du marché, opportunité ou non de marchés et d’affaires, présence ou absence de nouveaux domaines d’investissement à explorer,
•    Et enfin la réglementation juridique et fiscale, et comment, dans la légalité et la régularité, et de ce qu’il est en possible, contourner ce qui serait trop rude ou trop contraignant et non attrayant de ses dits Environnements et Climats, et à défaut, bien s’en protéger, bref, s’y adapter par les moyens de couverture et de protection possibles.

Par ces trois points cis-cités d’étude des Environnements et Climats des Affaires des pays, régions ou milieux cibles d’entreprise ou d’investissement, nous apportons à notre client entrepreneur ou investisseur, les réponses relatives aux questions de :
-    Quel est l’ordre des choix ? A savoir, de par ce qu’ils offrent comme garantie de sécurité de la personne et des biens, comme ouverture et non saturation du marché, et comme réglementation juridique et fiscale, quels sont dans l’ordre, de ces pays, régions et milieux ciblés et étudiés, les propices (ou les plus propices) à l’entreprise ou à l’investissement ? Dans lequel (ou dans lesquels) de ces pays, régions, ou milieux faut-il ou non entreprendre ou investir. Ou dans lequel (ou lesquels) d’entre eux il faut entreprendre ou investir en première, en seconde ou en nième position ?
-    Quelque soit le (ou les) choisi (s) de ces pays, régions ou milieux, y a-t-il différents régimes d’imposition ou de taux d’intérêts, et y a-t-on le choix entre ses deniers s’ils y existent ? Quelles possibilités de dérogations, d’allégements ou d’exonérations y a-t-il … ?.