Par ses vocations, capacités et offres de services cis-cités, le bureau d’études CREAP intéresse donc tous les agents,  acteurs et opérateurs socio-économiques et du développement de son terrain d’action :
-    du ménage (ou de l’individu) désireux de faire un meilleur achat ou une meilleure affaire, d’acquérir le meilleur le produit (le produit à la meilleur qualité) et au meilleur prix,
-    aux élus, gouvernants, dirigeants, décideurs, ordonnateurs, gestionnaires et comptables des instituions ou entreprises étatiques et publiques,
-    en passant par les responsables et/ou gérants des entreprises privées, individuelles et collectives.
Et au final, par les résultats de ses études et de ses réalisations, le CREAP dispose de suffisamment de données qui contribuent avec ceux des autres instituions et organes d’études :
-    à la connaissance, au répertoriage, et à la classification, des entreprises et agents économiques, locaux, régionaux, sous-régionaux et internationaux.
-    à la connaissance des activités économiques et des flux économiques financiers et monétaires, et la production de tous les documents statistiques, comptables, financiers et économiques des opérations et transactions locales, régionales, sous régionales et internationales.

Nos missions ne s’arrêtent pas aux études des possibilités, de faisabilité et de la rentabilité potentielle des entreprises, affaires et de projets, et elles ne se limitent pas aussi qu’aux études. 
Elles vont au-delà de leurs états de projets aux réalisations et réussites des entreprises, affaires et projet, et elles incluent les études de leurs possibilités, faisabilités et rentabilités potentielles, de ceux de, est-ce que oui ou non ces objectifs et réalisations attendus ont été atteints, et de ceux de, comment rectifier, corriger et améliorer les résultats et les performances. Et cela, dans une action de suivi, d’évaluation, de conseils, d’assistance et d’audit continus et permanents ou périodiques. 

Elles consistent à, une fois étudiés et choisis « le quoi exactement faire » (le domaine, la nature, le  type, le secteur et  l’objet de l’entreprise, de l’affaire ou du projet) et aussi, « le où le faire » (le pays, la région, ou le milieu d’opération), savoir s’il est oui ou non, disponible, ou possible (ou facile) d’obtenir dans les délais requis, tout ou une partie (et quel pourcentage ?) des moyens nécessaires ou utiles pour la réalisation des dits entreprises, affaires ou projets, et au moins, le minimum nécessaire et indispensable de ces moyens.
Moyens, pour ce qu’en demandent, et « le quoi exactement faire » (le domaine, la nature, le  type, le secteur et  l’objet de l’entreprise, de l’affaire ou du projet) et  la particularité du pays, de la région, ou du milieu d’opération en matière de parité de sa monnaie, de prix et de coût de sa main-d’œuvre, de ses matières premières, de ses produits, de ses importations ou de ses exportations suivant qu’on y soit producteur, acheteur ou consommateur, et autres …
Et moyens qui, par leurs natures sont : 
-    Financiers où ils vont, du minimum nécessaire et obligatoire de disponibilités pour le paiement de ce qui ne peut dépendre de (ou attendre) les bénéfices ou le résultat des activités de l’Entreprise, de l’Affaire ou du Projet (Comme certains salaires et autres rémunérations) et de réserves de garanties, aux primes de motivations, en passant par tout ce qui est financièrement obligatoire, nécessaire ou utile pour la bonne marche de l’Entreprise, de l’Affaire ou du Projet.
-    Des Ressources Humaines en intellects de dirigeants et de gestionnaires, en ordonnateurs et comptables principaux et secondaires, en une administration complète de cadres, d’agents et de postes, en administration et en main-d’œuvre. Le plus possible de ces ressources et le plus possible de leurs qualifications en instructions, diplômes et grades scolaires, académiques et universitaires et en expérience et grade professionnels, et par rapport à ce que les moyens financiers peuvent en acquérir et en rémunérer et la qualité et le nombre.
-    Des investissements,  équipements et matériels, immobiliers (Terrains, bâtiments et autres installations comme sièges et locaux de résidence d’administration, de logement, de travail, de production, transformation, et/ou de stockage et autres …, usines, plateformes industrielles, machines, autres installations industrielles et autres lourds matériels et outils de travail et de production), et mobiliers (mobiliers et matériels de bureaux …).
-    De fonctionnement et de production (fournitures et consommables de bureaux, légers matériels et outils de travail et de production, matières premières, carburants et autres …). 

Nous y allons par la connaissance que :
-    De la même manière et au même degré que le cultivateur d’autant (traditionnel) était tributaire de posséder des terres et de la tombée des pluies, l’investisseur et producteur moderne, dans son esprit d’entrepreneuriat ou son incitation à entreprendre, comme dans sa réussite de son entreprise une fois qu’il s’y décide, est conditionné par l’Environnement et le Climat des Affaires dans le milieu où il opère.
-    Environnement et Climat des Affaires sont donc, depuis toujours, et de plus en plus, deux éléments desquels dépendent beaucoup, l’esprit d’entrepreneuriat ou l’incitation à entreprendre, et la réussite de l’entreprise.
-    Environnement et Climat des Affaires sont des parallèles, corolaires ou conséquences des mutations socioéconomiques, des exigences de ces dernières et de leurs vitesses.
Environnement et Climat des Affaires qui sont aujourd’hui :
•    d’abord la présence ou l’absence de démocratie, de bonne gouvernance, la présence ou absence et la  prévention ou non de conflits (de conflits armés notamment), en bref, présence ou absence de garanties de paix et de sécurité de la personne et des biens,
•    ensuite le niveau du marché et son importance,  l’importance de la demande ou de l’offre suivant qu’on y soit producteur, acheteur ou consommateur,  la saturation ou non (ou la difficulté ou non) du marché, opportunité ou non de marchés et d’affaires, présence ou absence de nouveaux domaines d’investissement à explorer,
•    Et enfin la réglementation juridique et fiscale, et comment, dans la légalité et la régularité, et de ce qu’il est en possible, contourner ce qui serait trop rude ou trop contraignant et non attrayant de ses dits Environnements et Climats, et à défaut, bien s’en protéger, bref, s’y adapter par les moyens de couverture et de protection possibles.

Par ces trois points cis-cités d’étude des Environnements et Climats des Affaires des pays, régions ou milieux cibles d’entreprise ou d’investissement, nous apportons à notre client entrepreneur ou investisseur, les réponses relatives aux questions de :
-    Quel est l’ordre des choix ? A savoir, de par ce qu’ils offrent comme garantie de sécurité de la personne et des biens, comme ouverture et non saturation du marché, et comme réglementation juridique et fiscale, quels sont dans l’ordre, de ces pays, régions et milieux ciblés et étudiés, les propices (ou les plus propices) à l’entreprise ou à l’investissement ? Dans lequel (ou dans lesquels) de ces pays, régions, ou milieux faut-il ou non entreprendre ou investir. Ou dans lequel (ou lesquels) d’entre eux il faut entreprendre ou investir en première, en seconde ou en nième position ?
-    Quelque soit le (ou les) choisi (s) de ces pays, régions ou milieux, y a-t-il différents régimes d’imposition ou de taux d’intérêts, et y a-t-on le choix entre ses deniers s’ils y existent ? Quelles possibilités de dérogations, d’allégements ou d’exonérations y a-t-il … ?.

Elles consistent à voir dans un ordre bien établi, quels domaines, natures, types, secteurs, et objets d’entreprises, d’affaires ou de projets sont les plus ou les moins offerts et/ou demandés, et ainsi, les plus ou les moins possibles, faisables, réalisables et rentables sur le plan de l’offre et de la demande, et sur le marché local, régional et international .